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Démarchage à domicile ou repérage ? Externalisation et le flou qui s’ensuit

Anonym Salt Mobile 16.03.2023 Melden Reklamation gemeldet

La semaine passée, un individu indiquant travailler pour Salt a sonné chez mes parents.


Après un bref échange, j’ai eu droit à une invitation à « régler mon compte dehors » ainsi qu’à de jolies insultes. Je vous passe les détails.


Le comportement très bizarre de l’individu m’a fait penser aux plaintes du 09.09.2022(« Démarchage ou repérage » ;  https://plaintes.ch/complaint.php?id=14897 ) et du 27.02.2023 (https://plainte.ch/complaint.php?id=16201) des autres utilisateurs du site.


 


Contacté à ce sujet, Salt m’a pondu un mail générique dont les extraits pertinents sont reproduits ci-après : « Je tiens à vous présenter mes plus sincères excuses au nom de Salt pour le comportement inacceptable de l'un de nos revendeurs envers vous» […] « Nous reconnaissons que cela ne reflète pas les normes élevées que nous attendons de tous nos partenaires commerciaux, et nous sommes en train de prendre des mesures concrètes pour nous assurer que cela ne se reproduira plus jamais ».


N'ayant pas répondu à ce que j’avais besoin, j’ai recontacté Salt.


Par téléphone, j’ai expliqué qu’il était important de déterminer si l’individu au comportement bizarre était une personne qui travaillait pour Salt ou s’il s’agissait d’un individu qui faisait du repérage.


J’ai précisé que ma mère était âgée ; que le comportement de l’individu ressemblait à ce qui était décrit sur plainte.ch ; et que je ne souhaitais pas que ma mère – âgée – finisse comme une prochaine victime de brigandage.  Je lui ai indiqué que j’attendais des éclaircissements avant de contacter la police car elle avait d’autres choses à faire que de traiter des alertes prématurées et erronées; les informations de Salt étaient primordiales.


Le collaborateur de Salt m’a assuré que c’était bien quelqu’un qui travaillait chez Salt. Je lui ai alors demandé de m’envoyer un mail pour confirmer cela.


Le mail, contrairement à ce qui m’a été dit par téléphone, ne permet pas de confirmer que l’individu était quelqu’un qui travaillait pour Salt. Voici l’extrait pertinent : « Nous regrettons vivement les faits énoncés. Il y a différentes sociétés qui travaillent pour Salt avec des démarcheurs et nous n'avons pas un listing des quartiers ou zones de chacun de ces vendeurs ».


J’ai alors recontacté Salt pour qu’on m’explique la situation. La personne au téléphone était dans l’incapacité de me confirmer si oui ou non l’individu travaillait pour le compte de Salt. Un dossier a été réouvert. A ce jour, je n’ai pas eu de nouvelle de la part de Salt.


 


En résumé et à teneur des mails reçus :  Salt utilise des « partenaires commerciaux » pour faire du démarchage à domicile. En cas de problème, Salt est dans l’incapacité d’identifier si l’individu travaillait pour son compte.


A supposer que l’individu soit effectivement un « partenaire commercial » de Salt (cf. extrait du premier mail supra) et qu’il ait « réglé mon compte » qu’encourrait Salt ?  Pas grand chose. Cette externalisation sans possibilité de contrôle de la part de Salt n’arrange pas les choses en faveur des gens lambda.


 


Au vu de ce qui précède, je demande à Salt de traiter par écrit les points suivants :


1)      Est-ce que l’individu susmentionné travaille pour le compte de Salt ? (Cette question permettra de savoir s’il s’agissait d’un démarchage ou d’un repérage)


2)      Si la personne ne travaille pas pour le compte de Salt, veuillez m’envoyer une lettre signée (par une personne disposant d’un droit de signature chez Salt) indiquant que l’individu ne travaille pas pour Salt, afin que je puisse l’intégrer dans la lettre qui sera adressée aux autorités pour signaler le repérage, afin qu’elles renforcent les rondes policières.


3)      Si la personne travaille pour Salt, quelles mesures ont été prises pour « assurer que cela ne se reproduira plus jamais » ? Quelle est la société qui emploie l’individu ? (S.V.P ne me refaites pas un coup du « c’est chez nous » puis d’un « je ne sais pas qui c’était, ni qui l’employait »)


4)      Si vous ne savez pas si l’individu travaille pour le compte de Salt ou pas, veuillez-m ’indiquer par écrit selon supra (1) les démarches effectuées et quelles mesures ont été prises pour « assurer que cela ne se reproduira plus jamais » .


Je me permets de répéter encore une fois : je n’ai pas besoin du nom de l’individu aux comportements étranges. Je veux juste pouvoir dormir tranquille, sans à devoir me soucier de la sécurité de ma mère.


Bien cordialement.

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Anonym 21.03.2023

Demande en cours d'analyse. 

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Anonym 21.03.2023

A teneur du mail du 21 mars 2023 de Salt, je relève les choses suivantes :

1) "Sur Genève, nous avons une grande équipe, nous ne sommes malheureusement pas en mesure de savoir quel collaborateur était dans quel quartier à quel moment"

2)  "Il s'agit de notre équipe ''Direct Sales''"

3)  " Chacun porte effectivement une veste noire avec le logo Salt et a une carte de légitimation sur lui, qui peut être demandée à tout moment "

 

Lues séparément, les allégations (1) et (2) apparaissent cohérentes.

Lorsque vous lisez les allégations (1) et (2) ensemble, nous nous retrouvons face à un paradoxe.

L’allégation (2) nous dit qu’il s’agit de l’équipe « Direct Sales ». Pourtant, l’allégation (1) nous indique qu’il n’est pas possible de savoir qui a fait quoi. Comment Salt est arrivé à la conclusion que la personne était de l’équipe « Direct Sales » ? Mystère.

Que retenir de l’allégation (3) ?  En cas d’agression verbale ou physique, toujours demander la carte de légitimation de la personne ?

 

Que pourraient bien faire nos autorités si même le bénéficiaire du service ainsi que le(s) entreprises mandatée(s) ne savent pas ce que font leurs collaborateurs ?  

 

Face à la réponse ambigüe de Salt , nous ne saurons pas si l’individu aux comportements bizarres travaillait bien pour le compte de Salt ou s’il faisait du repérage.

Bref, une externalisation qui crée un flou et qui, dans le cas d'espèce, n’arrange pas les choses pour le citoyen lambda.